Shanghai

Durant une expatriation de 2 ans et demi pour le Groupe PSA, j’ai réalisé plusieurs milliers de photos de Shanghai entre mi 2017 et début 2020.

J’en ai retenu un peu plus de 180 pour en faire un livre, pour vous faire partager le charme de l’Ancienne Concession Française et son coté « ville moyenne au centre d’un mégapole de 26 millions d’habitants », les lumières qui transcendent la beauté de Shanghai la nuit tombée, les paradoxes d’architecture et de culture avec la vieille ville grignotée peu à peu par les buildings ultramodernes.

Il est plus compliqué de retranscrire la gentillesse de ses habitants, leur coté pragmatique, aimable et attachant. J’espère cependant y avoir contribué.

J’ai occulté l’omniprésence policière, le réseau de caméra de surveillance qui traque vos faits et gestes, la censure… Il faut savoir que cela existe, ne pas l’oublier afin de se réjouir quotidiennement de vivre en France en démocratie ; savoir reconnaitre certains cotés positifs de ce système.

Le lien suivant vous permet de « feuilleter » et commander le livre chez SAAL Digital, au prix de 188,99 € :

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L’Ancienne Concession Française avec ses platanes, ses vélos, ses triporteurs.

Vue aérienne de l’Ancienne Concession Française, avec la Skyline de Pudong à l’horizon

La vieille ville avec ses jours de lessive, ses petites échoppes ouvertes de jour comme de nuit.

La skyline de Pudong, avec ses couleurs magnifiques au lever comme au coucher du soleil, la nuit…

Le tissu routier de Shanghai, avec des « elevated roads » et leurs croisements incroyables.

Parmi les choses inhabituelles, le balayeur qui fait sa pause « coiffeur » dans la rue et la personne qui fait sa sieste dans son triporteur.


Le mot du photographe.

Les photos de rue sont souvent réalisées avec un iPhone7. Léger et discret, il est en permanence sur soi et permet de fixer des instants furtifs avec un niveau de qualité plus que satisfaisant.

Les autres photos sont réalisées avec des boitiers Nikon D40x et D5300 permettant d’exploiter les objectifs « ultra grand angle » et « télé-objectif » et de réaliser des pauses longues (pour « fixer sur la pellicule » les longues trainées lumineuses provoquées par les feux des automobiles).

Des photos aériennes réalisées avec un drone DJI Mavic2. Les choses sont forcément différentes lorsqu’elles sont vues avec de la hauteur.

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