40 ans de 205 GTi

Après les 40 ans de la Peugeot 205 l’année dernière, L’Association de l’Aventure Peugeot et le 205 GTi Club de France fêtaient le week-end des 21 et 22 septembre les 40 ans de la 205 GTi, la déclinaison la plus emblématique et la plus désirable de la 205. A cette occasion, plus de 300 exemplaires étaient réunis sur le parking du Musée de l’Aventure Peugeot à Sochaux.


205 GTi Griffe

Sortie en 1990, cette GTi se distingue par une robe « vert fluorite », des jantes « gris anthracite » et des baguettes de porte « gris canon de fusils » (au lieu de rouge sur les versions standard).


206 Turbo 16

La manifestation fut d’occasion de faire des baptêmes de 205 T16. Cette voiture était destinée à accompagner le lancement de la 205 GTi. Elle est sensiblement différente de la 205 classique, avec 4 roues motrices, un moteur 16 soupapes turbocompressé en position centrale arrière. Elle a participé au Championnat du Monde des Rallyes en Groupe B à partir de 1984 (avec 3 victoires dès la première année de participation), Championnat du Monde qu’elle a gagné en 1985 et 1986 avec respectivement Timo Salonen et Juha Kankkunen à son volant.

La dangerosité de ce Groupe B a provoqué l’arrêt de ce championnat. La voiture a été déclinée en version « Rallye Raid » pour gagner le Paris Dakar en 1987 et 1988, avec respectivement Ari Vatanen et Juha Kankkunen à son volant.


La Bourse d’échange

En parallèle de l’évènement, L’Association de l’Aventure Peugeot organisait une bourse d’échange. C’était l’occasion pour les collectionneurs de dénicher la pièce rare, le véhicule à restaurer (ou qui servira de réservoir de pièces pour restaurer un véhicule similaire). On y trouve absolument de tout, du ressort de soupape aux projecteurs additionnels, des outils et de la documentation…


Le mot du photographe.

Trois voitures dans ce reportage sont photographiées de trois quart arrière (entre plein arrière et trois quart arrière, plus précisément). Le faible angle d’incidence permet de visualiser des reflets sur la carrosserie, de voir une GTi qui se reflète dans une GTi ! Pour peu qu’une autre GTi se situe en arrière plan, vous en avez trois pour le prix d’une. Bingo !

Abeilles

Les abeilles, travailleuses infatigables, se lèvent tôt et se couchent tard pour butiner les lavandes. Ces moments du jour sont aussi l’occasion pour les photographes de disposer d’une belle lumière et de belles couleurs.


Le mot du photographe

Les abeilles ont été photographiées avec un appareil hybride CANON R6 équipé d’un zoom téléobjectif RF 70/200 f2.8. Une grande focale permet d’obtenir des sujets bien nets sur des fonds bien flous. Le post traitement a été réalisé avec PhotoShop et LightRoom.

Les temps de pose sont très faibles, entre 1/4000 et 1/8000 s, de façon à figer le vol des abeilles et les battements de leurs ailes.

Le zoom RF 70/200 n’est pas un objectif « macro », ce qui signifie que la distance minimale de mise au point reste importante, de l’ordre du mètre, ce qui ne permet pas d’approcher très près des abeilles. Les photos ont donc été recadrées pour obtenir des plans plus rapprochés.

L’ouverture choisie est f 3.2. Le diaphragme est donc ouvert quasiment au maximum, pour obtenir des temps de pose les plus courts possible.

La combinaison d’une focale longue et d’une forte ouverture conduit à une profondeur de champs (la zone dans laquelle la photo est nette) très faible, de l’ordre de quelques millimètres. Par ailleurs, l’abeille ne reste qu’une fraction de seconde sur chaque fleur et la fait osciller quand elle se pose dessus, se qui complique fortement les prises de vue. C’est aussi ce qui rend cette « chasse » intéressante ! L’autofocus, par sa rapidité de mise au point, est alors un allié précieux.

Cadrer et faire la mise au point sur un sujet qui bouge n’est pas facile. Obtenir une abeille nette relève quelques fois de la chance. Sur certaines photos, l’abeille est déjà partie au moment où je déclenche ! Aussi, obtenir deux abeilles nettes sur la même photo est hautement improbable. Je reconnais que les photos qui montrent deux abeilles sont des assemblages de deux photos d’une même abeille photographiée dans deux positions différentes sur la même fleur.

Cet assemblage se réalise sur PhotoShop. Si vous ne l’aviez pas remarqué, c’est que l’assemblage est bien fait, sinon…

Musée de l’Aventure Peugeot – Concept cars

Dans le cadre d’une exposition temporaire, le Musée de l’Aventure Peugeot à Sochaux présente de nombreux concept-cars de la Marque au Lion. La plupart ont été montrés dans les salons automobiles du monde entier, mais certains n’avaient jamais été dévoilés précédemment au public, comme les maquettes de 208 et RCZ Cabriolet destinées à des arbitrages de la Direction Générale.


Proxima – 1986


Quasar – 1984


Onyx – 2012


EX1 – 2010


SR1 – 2010


Peugette – 1976

Proposition Pinin Farina de petite voiture sportive, sur base de 104, pour célébrer les 30 ans de collaboration entre Peugeot et le célèbre designer italien.

Dans le soucis de réduire les coûts de production, les capots avant et arrière sont identiques, ainsi que les portes droite et gauche. Les pare-chocs permettent toutes les latitudes de différenciation des faces avant et arrière. Certains éléments de mécanique et de carrosserie (projecteurs et feux arrière) sont repris de la 104.


204 UB Cabriolet – 2008

Proposition de gamme Urban Distinctive présentée à côté de celle qui l’a inspirée.


ION – 1994

Proposition de petit véhicule électrique urbain.


20Cœur – 1998

Le concept-car de coupé-cabriolet qui a accompagné le lancement de la 206, à côté de son illustre ancêtre, la 401 de 1935, qui intégrait déjà ce principe technique de coupé découvrable breveté et baptisé « Éclipse ».


Asphalte – 1996


Quartz – 2014

Le concept-car qui a inspiré la deuxième génération de 3008 et 5008.


SR1, 208 Cabriolet, RCZ Cabriolet…


Exalt – 2014


Le mot du photographe.

Les voitures ont été photographiées avec un appareil CANON R6 équipé d’un zoom 70/200 f2.8, et les vues panoramiques avec un zoom 15/35 f2.8. Le post traitement a été réalisé avec PhotoShop et LightRoom. J’utilise une grande focale pour photographier les voitures de loin, quitte à avoir d’autres voitures floues dans le champs, un peu à la façon de la photographie animalière.

  • Exalt. La voiture a été prise à contre-jour, dans un environnement sombre et avec un arrière-plan très lumineux. Les capteurs des appareils photo acteur – tout comme les pellicules argentiques d’antan – ne permettent pas de fixer un tel gradient de luminosité. Pour contourner le problème, plusieurs photos ont été prises, avec un cadrage identique mais à différentes expositions. Elles ont été mélangées sur LightRoom pour ne retenir que les zones parfaitement exposées. Ce principe s’appelle une fusion HDR (High Dynamic Range) ou un bracketing d’exposition.

Les mêmes photographies sont prises avec un cadrage identique, mais à différentes expositions.

L’Onyx Scooter. La photo a été réalisée de la même façon, pour les mêmes raisons.

  • Peugette – Vue d’ensemble. Les objectifs grand-angle déforment les perspective. Ici, l’estrade de présentation de la maquette, au premier plan, paraît exagérément grande. La partie basse de la photo a été « comprimée » sur Photo pour lui redonner des proportions plus réalistes.

Avant et après la compression de l’estrade de la Peugette.

  • Onyx. Sur la vue de face, les projecteurs ont été « allumés » avec PhotoShop.
  • Quasar (vue arrière). Les halos lumineux sur les projecteurs au plafond ont été rajoutés par PhotoShop.

Par ailleurs, la dominante jaune de l’éclairage artificiel a été corrigée pour obtenir la vraie couleur blanche de la voiture, les poteaux redressés, le moteur et les feux arrière éclaircis et la zone de carrelage agrandie.

  • 206 20Coeur. La barrière a été supprimée, en recollant des morceaux d’autres photo pour reconstituer les parties cachées derrière la barrière. La partie gauche de l’entrée d’air du bouclier a été symétrisée pour reconstruire la partie droite (et cela se voit !). L’estrade a été agrandie, débarrassée de sa marche.

Le MANS CLASSIC 2023

Le Mans Classic est l’occasion rêvée pour photographier des automobiles en statique et en dynamique. C’est un évènement qui fait courir sur le circuit des 24 Heures du Mans des voitures dont le type à participé un jour à cette épreuve mythique. Les voitures sont regroupées selon 6 plateaux, en fonction de leur âge. Ces plateaux se relaient sur le circuit, chaque plateau effectuant trois cessions de course d’un peu moins de 60 mn (le matin, l’après-midi et la nuit pour simplifier).

Sur piste, vous pouvez vous entrainer à faire des filés, en accompagnant avec votre objectif la voiture qui passe devant vous. La vitesse d’obturation doit être suffisamment rapide pour que la voiture soit nette, et suffisamment lente pour que l’arrière plan soit « filé » (ce qui donne l’impression de vitesse). Voir les tutoriels dédiés au « filé » sur ce site.


Pour que les voitures se mettent en place rapidement sur la piste dans l’ordre donné par les qualifications, elles se rangent en pré-grille quelques minutes avant la course. L’atmosphère y est particulière. On ressent le stress des pilotes, des mécaniciens qui effectuent les derniers réglages…

Les photos suivantes ont été prises à « l’heure bleue », dans les minutes qui précèdent et qui suivent le coucher du soleil. A l’heure où les appareils argentiques sont rangés, les numériques arrivent à capturer cette atmosphère avec ses couleurs chaudes et magiques.


73 ans d’écart entre ces deux Bentley victorieuses aux 24 Heures du Mans. On imagine l’écart en termes de mécanique, d’aérodynamique, de performances…


La photo suivante a été prise au petit matin, au moment où les voitures quittent la pré-grille et rentrent sur le circuit. Je confesse qu’elle est le fruit d’un assemblage de deux photos, une nette et une floue, réalisé sur PhotoShop.


Les paddocks sont l’occasion de prendre des photos dans l’ambiance des mécaniciens.


Le spectacle est également en dehors de la piste. De nombreux clubs exposent leurs voitures. Il est possible de voir des voitures rarissimes en quantité invraisemblable.


Les commerçants participent également à cette ambiance rétro.


Pensez à faire des photos avec l’appareil posé sur le sol. Les perspectives originales en contre-plongée sont souvent originales.


Prenez les voitures en enfilade, avec un téléobjectif. Celui-ci à pour principal effet d’écraser les perspectives. Faites en sorte que l’une des premières voitures soit nette et les autres floues en choisissant la plus plus grosse ouverture de l’objectif.


Les photos ont été prises avec un CANON EOS R6 équipé d’un télé-objectif RF70/200 f2.8. Le téléobjectif permet d’écraser les perspectives. Le corolaire est qu’il faut prendre les photos loin du sujet, et il faut s’armer de patience lorsque les spectateurs passent devant le sujet photographié.

Les plus belles photos sont prises au lever et au couché du soleil, un peu avant ou un peu après, au moment ou la lumière est chaude et couleurs sont vives.

Marché de Noël de Montbéliard 2023

Le marché de Noël de Montbéliard réunit les meilleurs artisans et producteurs locaux et régionaux. Une autre région est l’invitée d’honneur, la Provence cette année.

Les maisons de la vieille ville servent d’écrin à ces lumières, ici et le temple Saint Martin et l’hôtel Beurnier-Rossel.

La façade de l’Hôtel de Ville et de l’ancienne Caisse d’Epargne.

Les vieilles maison de la place des halles.

La statue de Georges Cuvier, de dos, qui regarde le temples Saint Martin. Georges Cuvier est un célèbre anatomiste français, né le 23 août 1769 à Montbéliard et mort le 13 mai 1832 à Paris.



Des alignements de bouteilles, parfums ou liqueurs…

Le nounours en Verquelure, tissu emblématique du Pays de Montbéliard, connu depuis le moyen âge, en vente au chalet de l’Office du Tourisme.



L’occasion de s’adonner à la photographie animalière !

Les animaux sont réalisés à l’aide de matériaux recyclés : à retrouver sur www.lesoizeauxde passage.fr (avec un « z »).


Le mot du Photographe – Je confesse avoir quelque fois mélangé des photos floues et des photos nettes, les flous sont plus doux et s’effacent devant le sujet principal. Ainsi, la photo définitive à gauche est une composition des deux photos suivantes sur la droite.

Noter que les photos originales sont volontairement un peu sous exposées, de façon à préserver les lumières vives, comme celle de l’ange par exemple. En effet, dans le cas d’une scène avec des luminosités multiples, il est toujours possible d’éclaircir les zones sombres alors que les zones brulées sont définitivement irrécupérables.

Les images floues peuvent être parfois très belles, n’est-ce pas ?

Peugeot Darl’mat

Quelques rares Peugeot 203 et 402 Darl’mat faisaient la pause dans la lumière chaude de l’automne, à Montbéliard.

Des 402, que le concessionnaire parisien proposait en Coupé, Cabriolet et Roadster. Ce dernier a terminé 5° au classement général et a gagné sa classe « 2 litres » aux 24 Heures du Mans de 1938. Les galbes de ces voitures témoignent des critères aérodynamiques en vigueur dans les années 30 et des transformations « folles » dont les carrossiers étaient capables, quand les automobiles étaient encore construites sur des chassis.


Le Cabriolet


Le Coupé


Le Roadster


Une 203 avec son moteur sur-vitaminé à 80cv, son assiette abaissée et sa carrosserie modifiée (pavillon abaissé de 70mm, pads couvrant les roues arrière, calandre…)


Le mot du photographe. Ces Photos ont été prises avec un CANON R6 + RF 70/200 f2.8. Le téléobjectif permet de réaliser des perspectives « écrasées » et des arrière-plans bien flous mais, les voitures étant photographiées de loin, son utilisation nécessite une grande patience en attendant que les spectateurs sortent du champ !

L’IA (Intelligence Artificielle) a été utilisée sur Photoshop avec parcimonie pour supprimer quelques arrière-plans « dérangeants ». La lumière du matin d’automne (10:00) était favorable pour faire de belles photos.

Shanghai

Durant une expatriation de 2 ans et demi pour le Groupe PSA, j’ai réalisé plusieurs milliers de photos de Shanghai entre mi 2017 et début 2020.

J’en ai retenu un peu plus de 180 pour en faire un livre, pour vous faire partager le charme de l’Ancienne Concession Française et son coté « ville moyenne au centre d’un mégapole de 26 millions d’habitants », les lumières qui transcendent la beauté de Shanghai la nuit tombée, les paradoxes d’architecture et de culture avec la vieille ville grignotée peu à peu par les buildings ultramodernes.

Il est plus compliqué de retranscrire la gentillesse de ses habitants, leur coté pragmatique, aimable et attachant. J’espère cependant y avoir contribué.

J’ai occulté l’omniprésence policière, le réseau de caméra de surveillance qui traque vos faits et gestes, la censure… Il faut savoir que cela existe, ne pas l’oublier afin de se réjouir quotidiennement de vivre en France en démocratie ; savoir reconnaitre certains cotés positifs de ce système.

Le lien suivant vous permet de « feuilleter » et commander le livre chez SAAL Digital, au prix de 188,99 € :

https://www.saal-digital.net/share/z1qjRlg/


L’Ancienne Concession Française avec ses platanes, ses vélos, ses triporteurs.

Vue aérienne de l’Ancienne Concession Française, avec la Skyline de Pudong à l’horizon

La vieille ville avec ses jours de lessive, ses petites échoppes ouvertes de jour comme de nuit.

La skyline de Pudong, avec ses couleurs magnifiques au lever comme au coucher du soleil, la nuit…

Le tissu routier de Shanghai, avec des « elevated roads » et leurs croisements incroyables.

Parmi les choses inhabituelles, le balayeur qui fait sa pause « coiffeur » dans la rue et la personne qui fait sa sieste dans son triporteur.


Le mot du photographe.

Les photos de rue sont souvent réalisées avec un iPhone7. Léger et discret, il est en permanence sur soi et permet de fixer des instants furtifs avec un niveau de qualité plus que satisfaisant.

Les autres photos sont réalisées avec des boitiers Nikon D40x et D5300 permettant d’exploiter les objectifs « ultra grand angle » et « télé-objectif » et de réaliser des pauses longues (pour « fixer sur la pellicule » les longues trainées lumineuses provoquées par les feux des automobiles).

Des photos aériennes réalisées avec un drone DJI Mavic2. Les choses sont forcément différentes lorsqu’elles sont vues avec de la hauteur.

Musée Peugeot – Lumières de Noël

Les décorations de Noël se sont invitées au Musée de l’Aventure Peugeot, avec leurs sapins et leurs belles lumières rouges et dorées. L’écrin des belles voitures s’en trouve sublimé.

Les photos ont été prises avec un Canon EOS R6 équipé d’un zoom RF 70/200 f2.8, focale réglée sur 200mm pour écraser les perspectives, obturateur réglé à pleine ouverture pour obtenir de beaux premiers plans et arrière-plans bien flous.

Peugeot 404 Cabriolet
Peugeot 404 Cabriolet
Peugeot 302 Darl’mat
Peugeot 304 Cabriolet
Peugeot 304 Cabriolet
Peugeot 203 Darl’mat
Peugeot 403
Peugeot Quasar (premier concept car historique de Peugeot, présenté en 1984)
Peugeot 205 GTi
Peugeot 404 Coupé

Marché de Noël de Montbéliard 2022

Montbéliard Marché Noël

Le marché de Noël de Montbéliard réunit les meilleurs artisans et producteurs locaux, régionaux. Le Périgord est l’invité d’honneur cette année.

Les maisons de la vieille ville servent d’écrin à ces lumières, ici et le temple Saint Martin et l’hôtel Beurnier-Rossel.


Les bijoux, avec des perles de verre de verre filé.

https://www.zaboutik.fr – Créations en provenance de Villers le Lac / Doubs.


Des boucles d’oreilles uniques, car des plumes qui les subliment le sont aussi.

https://www.verdegrine.fr – En provenance de Le Bugue / Dordogne / Périgord


Des bijoux en métal – Créations Chouski, en provenance de Le Barry/ Dordogne / Périgord.


Les gourmand ne sont pas oubliés avec les saveurs sucrées et salées …


Les belles couleurs dorées des décors de Noël, les boules les étoiles…


La poterie.


L’occasion de s’adonner à la photographie animalière !


Peugeot 9×8 – Musée de l’Aventure Peugeot

Le Peugeot 9×8 passe les fêtes de Noël au Musée de l’AVenture Peugeot à Sochaux. C’est l’occasion de retrouver ses glorieuses ainées, les 905 et 908, respectivement gagnantes en 1992/1993 et 2009.

La voiture est toujours en cours de développement. Elle profitera de l’occasion pour glaner quelques précieux conseils auprès de ses soeurs.

Ce n’est pas la dernière PlayStation, mais bien le cockpit de la Peugeot 9×8 !

Point de vue du Photographe.

Les photos ont été prises avec un Canon EOS R6 équipé du zoom RF 70/200 f2.8. Le parti pris a été d’utiliser une longue focale pour écraser les perspectives. En conséquence, les photos sont prises de loin et les voitures peuvent être partiellement masquées par un objet, un poteau ou autre. Cela n’est pas forcément gênant dans la mesure où cet « hôte indésiré » est flou et qu’il n’attire par l’oeil.

L’appareil photo a été plusieurs fois posé directement à même le sol. La perspective en contre plongée est souvent intéressante, en particulier parce qu’elle provoque naturellement de beaux reflets sur le sol.

La lumière intégralement artificielle ne donne pas toujours directement de belles photos. Un ré-équilibage des ombres et lumières a été réalisé en post-traitement (sur LightRoom). Quelques (maudites) barrières de protection ont été retirées (avec Photo Shop).